Figure méconnue du grand public, le sculpteur Joseph Bernard fait l'objet d'une grande rétrospective, réunissant des sculptures et dessins, issus de collections privées et publiques.
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Initialement prévue à partir du 18 mars, l'exposition a ouvert ses portes au public le 15 juillet. C'est grâce à l'extrême générosité des prêteurs que le musée peut présenter cet événement majeur pour une durée exceptionnelle, jusqu'au 3 janvier 2021.
Après ses études aux Beaux-Arts de Lyon et l'obtention du Grand Prix de Paris en 1882, François Guiguet entre à Paris dans l'atelier d'Alexandre Cabanel. Il côtoie Puvis de Chavannes, Degas, Chialiva... et expose en 1885 le "Retour de Tobie" (aujourd'hui à l'église de Corbelin).
D'abord installé au Bateu-Lavoir, il croque les petites gens de la place Ravignan. Il expose des portraits et va vivre de commandes.
Après des études aux Beaux-Arts de Sarajevo, Dragan Dragic s'installe en France en 1967, notamment à Bourgoin-Jallieu, puis quelque temps à Collioure, pour se laisser définitivement séduire par le Ventoux dont le paysage inspire toujours son oeuvre. L'exposition réunit une soixantaine d'oeuvres issues de collections privées.
En raison du prêt de la collection au Musée de Saint-Antoine-l'Abbaye, replacement par une collection privée d'oeuvres inédites du peintre.
Tout au long du XIXe siècle, les peintres et sculpteurs établis à Grenoble contribuent à l’effervescence culturelle de la cité. De l’école gratuite de dessin (1796) à la création du musée (1798) en passant par l’école de sculpture architecturale (1831) et le salon de la Société des Amis des Arts (1832), Grenoble vit une période particulièrement féconde sur le plan artistique. Pourtant la ville n’a pas le passé des villes humanistes et universitaires. C’est la seule détermination d’une élite éclairée qui va permettre ce remarquable développement culturel et intellectuel qui caractérise Grenoble aujourd’hui encore.
L'exposition Nature et figure valorise l'art du XIXe au XXIe siècle, avec des dépôts du musée du Louvre, du musée d'Orsay, du musée national d'art moderne-Centre Pompidou, ainsi que des oeuvres de la collection permanente du musée Paul Dini, grâce notamment aux donations récentes (2018-2019).
Autoportrait jeune à la palette